Ce soir je m'ennuyais, alors après réflexion j'ai créé un jeu, assez con, qui consiste à mettre des bifles à Mocucha.Mais même ces bifles ne m'amusait plus, donc j'ai demandé à Astral s'il voulait s'amuser aussi. Il est venue plus vite que l'éclaire pour faire une partouze de bifle à la mexicaine à trois. Seulement Astral était occupé avec son histoire de bifles flambées, il était comme possédé! on du le maîtriser à deux pour pas qu'il se crame la bite.
On a alors appelé un exorciste mais Astral a bravé notre maitrise sur sa personne, tenté de sodomiser une prise électrique, et alors qu'on s'attendait à ce qu'il prenne une décharge que même son fier pénis ne supporterait pas, il parvint à endommager le réseau électrique de sa région à la puissance de ses coups de reins.
L'exorciste nommé Flosax, réputé pour être le meilleur du pays devrait arriver dans la soirée, car astral était incontrôlable, cela faisait 10 minutes qu'il s'en prenait à cette prise électrique! On a voulu le calmer avec des nuggets... Mais à ce moment précis il a attraper une dinde et l'a fourré, Noël approchait et les épiceries étant toutes fermé, nous n'avions pas d'autre choix que de contacter le Tchad et commander une chèvre pour Noël. Puis Astral pourra s'amuser pleinement avec elle avant les fêtes.
Après c'être farcie la dinde Astrale avait perdu une dent de lait et c'était calmé, quand tout à-coup un StondaLaVictime sauvage apparaît . Astral avait trop peur pour se battre, heureusement l'exorciste Flosax arriva a temps et sortit sa carte de leader. il utilisa l'attaque Martyrisation, puis l'attaque ban . Le Jeune Stonda ne savait quoi faire . Il decida donc de battre en retraite, effrayé par le charisme, la beauté, l'intelligence et la puissance du vaillant Flosax. Et commença l'exorcisme d'Astral qui espérait remettre sa dent de lait en place. "Piou" "piou" *Babooom!* De l’extérieur, on aurait cru à une reconstitution de la seconde Guerre mondiale! Un torrent! Que dis-je! Une montagne de morve se déversa de son nez lors de la remise en place de cette dent de lait. Allez savoir pourquoi. Un nez, quel nez ! Stonda s'en moqua voluptueusement. Lorsqu'Astral répondit :
Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...
En variant le ton, —par exemple, tenez :
Agressif : « moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur le champ que je me l'amputasse ! »
Amical : « mais il doit tremper dans votre tasse :
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « c'est un roc ! ... c'est un pic... c'est un cap !
Que dis-je, c'est un cap ? ... c'est une péninsule ! »
Curieux : « de quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « l'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle hippocampelephantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os ! »
Cavalier : « quoi, l'ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau c'est vraiment très commode ! »
Emphatique : « aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « c'est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y un nez ? Nanain !
C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain ! »
Militaire : « pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
—Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.
FIN