Toribash
Originally Posted by Dentsukun View Post
Si les japonais disent que les français sont des pervers, alors j'ai le cul entre 3 chaises.
Ah bah tien justement ... j'allais y venir...!

vrai xDDDDDDDDD mais là ou j'ai entendu "films français" pour dire "porno" était dans un anime DESSIN ANIMÉ

j'ai oublié le nom de cette production japonaise
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+3 pages depuis que je sois arrivé lol
Last edited by Thronior; Nov 22, 2016 at 09:56 PM. Reason: <24 hour edit/bump
Un très bon anime, gnéhé.
Peuw-tu me passer le nom de cette production que j'aille me ... détendre (éhé)
To get proctected from the Sun, i wear my Bob.
Originally Posted by Mercurit View Post
Mensonge. On aime le fromage, le pain, le paté et les rendez-vous sous la Tour Eiffel, c'est tout.

* et aussi les accordéons et les bérets

Originally Posted by Dentsukun View Post
La perversion désigne, dans un sens général, l'inclination à des conduites considérées comme « déviantes » par rapport aux règles et croyances morales d'une société. Le terme recouvre toutefois plusieurs champs sémantiques et différentes définitions. Il est issu du verbe « pervertir », qui signifie littéralement « détourner », d'après l'étymologie latine pervertere : « mettre sens dessus-dessous »1 et globalement « action de détourner quelque chose de sa vraie nature »2. Le sens moral du verbe pervertir (« convertir au vice ») date du xviie siècle et a longtemps eu une connotation religieuse.

Dans le vocabulaire courant, le terme est utilisé pour désigner soit une déviation des instincts conduisant à des comportements immoraux et antisociaux, soit la transformation de sens subie par un discours (par exemple un message politique), soit la manipulation, l'abus et la cruauté. En matière de mœurs, la notion de perversion a beaucoup évolué en fonction des époques et des normes, religieuses et pénales entre autres. Dans ce registre, le mot fait souvent allusion à la sexualité : il désigne alors des perversions sexuelles ou des conduites considérées comme telles, qu'elles soient définies comme pathologiques ou non.

En psychiatrie, le terme se réfère la plupart du temps à des conduites immorales ou amorales considérées comme déviantes. La liste des perversions a subi dans l'histoire de cette discipline des variations aussi nombreuses que discutées3 : telle attitude est vue comme pathologique à une époque, puis plus à une autre, selon des critères qui relèvent avant tout des normes sociales. Il désigne néanmoins pour beaucoup une structure psychopathologique établie.

En psychanalyse, Sigmund Freud a d'abord inclus la perversion dans le cadre de la sexualité, pour l'étudier ensuite dans une perspective psychogénétique de fixations et de régressions. Il situe la perversion dans les pulsions qui visent une satisfaction « polymorphe », ou détournée, c'est-à-dire un but autre que génital. D'une certaine façon, il suppose l'existence de ce processus chez l'enfant4. C'est surtout l'adulte qui, dans son développement, est l'enjeu de la dynamique des fixations et des régressions, et qui peut développer une perversion dans le sens psychopathologique. La perversion devient alors, dans un deuxième temps, l'expression de la pulsion d'emprise, et elle se manifeste dans la relation à l'objet. Son fondement psychique est, selon Freud, le déni de la différence des sexes, qui débouche sur le déni de l'altérité : la perversion sexuelle n'étant que l'une des manifestations de la perversion, tout comme la perversion narcissique.

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